"Pour moi, nous dit hazem, faire Acta non verba répondait à un besoin : dans un monde où le support visuel s’impose, j’ai voulu réaliser un documentaire qui parle de nos luttes, de ceux qui ne baissent pas les bras et qui continuent à expérimenter."
« Il n’y a pas un antifacisme, mais des antifacismes. Face à l’individualisme, nous prônons le collectif et la solidarité. Face au capitalisme, une société égalitaire. On défend l’idée que l’individu doit être jugé sur ce qu’il fait et non d’où il vient et que les chances doivent être égalitaires. On choisit surtout des actions concrètes. On ne se permet pas de parler sans un lien avec le réel, avec du palpable. Nos actions découlent de nos idées » explique-t-il.