On y a mené des débats sur ce que pouvaient signifier et exiger des aspirations d’autonomie et d’autodétermination et sur comment pouvait être renforcée la résistance anti-raciste contre les camps et le système de gestion des migrations.
L’occupation, en tant qu’action directe et publique, a déclenché dans le quartier des discussions autour d’une critique radicale des camps et des formes possibles de résistance. Par cette cette action c’est tous les camps, autant en ville, qu’à la campagne qui étaient visés. Cette occupation a pris fin, mais pas notre résistance. Renforcé-e-s par l’action collective nous serons encore demain le sable dans les rouages de ce système.