Le Capitalisme produit les famines, les guerres et le fascisme. C’est un système qui est basé sur l’injustice et les privilèges, un système assassin qui détruit la planète. Le Capitalisme n’est pas en crise, il est la crise.
Alors que la social-démocratie a prouvé son inefficacité, le néo-libéralisme veut continuer à nous vendre son cauchemar et le fascisme veut se poser en alternative.
C’est à nous, les exploitéEs et les oppriméeEs, de trouver des perspectives révolutionnaires, de créer, de lutter pour le pouvoir populaire.
La seule façon de faire barrage à la crise, et à la montée de la droite dure et de ses idées, c’est de se rassembler pour (re)construire un socialisme anti-autoritaire. Pour un socialisme de la base par la base, contre tous les bureaucrates, les politiciens, les syndicats-jaunes et tous ces connards qui prennent des décisions à notre place.
Le capitalisme, le fascisme et la crise ne se combattent pas dans les urnes. L’auto-organisation, la solidarité internationale, les grèves et le sabotage ont toujours été les armes des oppriméEs. La lutte pour la révolution sociale est la seule alternative face ce système de domination et d’exploitation, et le seul barrage à opposer à une extrême-droite en pleine effervescence.
Historiquement le 1er mai est un jour de lutte et non la « fête du travail ». C’est grace aux martyrs de Chicago, aux grèves sauvages et aux émeutes que le vieux mouvement ouvrier a su arracher au Capitalisme les acquis qu’aujourd’hui ce dernier veut nous reprendre. Rendons-leur hommage : la rage au coeur, la lutte continue !
Aujourd’hui plus que jamais, Socialisme ou Barbarie !