Malheureusement Mohamed n’est pas libre, il doit purger une peine de six mois pour des délits mineurs. Comme il est expliqué dans le tract d’appel au rassemblement de soutient publié par No Bunkers :
“N’ayant pas le droit de travailler, les requérants d’asile déboutés reçoivent l’aide d’urgence, soit 10 francs par jour. Privés d’un réel revenu, la plupart sont contraints de recourir à l’économie parallèle pour survivre.”
Hier, avant d’avoir appris l’annulation du procès pour la libération de Mohamed nous avions suspendu une banderole à la cathédrale de Genève.