Ces violences ne peuvent être réduites à des chiffres et statisques, nous continuerons à chérir et à porter la mémoire de nos soeurs et adelphes perdues. Nous ne serons pas libres, tant que toutexs ne le sont pas.
Les violences patriacales continuent de tuer, même en Suisse. Pas une de moins ! Nous n’oublierons jamais, nous ne pardonnerons jamais.