Luttes étudiantes Occupation CUAE

Occupation en cours pour des repas à 3chf

Occupation des cafétérias d’Uni-Mail ce mardi 2 novembre depuis 10h30.
Pour des repas à 3chf dans nos cafétérias !

Université de Genève |

Mise à jour

    Et de une !

  • Et de une... une semaine qu’on est là.

    Pour l’instant, on a du mal à voir où les négociations mènent. On a l’impression que le rectorat et le conseil d’état ne cessent de se renvoyer mutuellement la balle. Mais il va bien falloir que ça change à un moment. Pour ça, nous continuons à mettre la pression et garderons les lieux encore un bon moment.

    Pendant que les négociations coincent (“il y a des contraintes en démocratie, le temps en est une” (ahahaha) nous dit le secrétaire général de l’uni, Didier Raboud), le lieu continue à vivre et se développe. Chaque jour, les repas sont préparés et servis avec de plus en plus de fluidité. Mais surtout, de plus en plus de collectifs s’approprient les lieux et viennent y passer du temps, y tenir des infokiosques, y servir de la nourriture, y faire des banderoles, etc. Ainsi, la caf autogérée permet de tisser un lien plus étroit entre différents collectifs camarades et vise à s’inscrire également dans une perspective de convergence des luttes anticapitalistes de la région romande.

    Mardi, nous n’avons exceptionnellement pas fait notre plénière quotidienne puisque les choses n’ont pas beaucoup évolué depuis hier et surtout parce qu’on a été occupé.e.x à autre chose. Le Silure est venu tenir un infokiosque pendant l’après-midi qui a bien marché. Il y avait également le rassemblement de commémoration du 9 novembre, jour où en 1932 l’armée a tiré sur une manifestation contre un rassemblement fasciste qui se tenait à Genève, faisant 13 mort.e.x.s. Nous avons préparé une soupe pour cet événement et avons effectué une très courte prise de parole pour inviter les manifestant.e.x.s à passer la soirée avec nous dans le “marx café” occupé.

    Nous avons également marqué le coup de l’hebdoversaire en faisant un acte symbolique. Aux alentours de midi, nous avons posé 900 assiettes en carton dans le hall d’uni mail. Ces assiettes représentent le nombre de membres de La Farce, l’épicerie gratuite, qui n’ont pas pu recevoir de colis alimentaire cette semaine, faute de moyens alloués par les autorités. Et il y aurait plus d’inscrit.e.x.s si La Farce n’avait pas été contrainte de suspendre les inscriptions, n’arrivant pas à répondre à la demande. Pour rappel, une de nos revendications est que l’uni subventionne l’épicerie gratuite gérée par des bénévoles pour les étudiant.e.x.s (pour l’instant, elle ne leur donne pas un centime, alors même qu’elle nourrit ses étudiant.e.x.s).

    Mercredi, nous avait-t-on dit, nous aurions du avoir des retours sur nos revendication de la part du conseil d’état et du rectorat. Le conseil d’état et le rectorat arrêteraient-ils de se lancer la balle ? L’internalisation du service de restauration des caf fera-t-il l’unanimité ? La suite au prochain épisode...

    A bas les cafs de riches !

    Les occupant.e.x.s de la caf d’uni mail

  • 6e jour d’occup’, toujours pas de nouvelles

  • Ça fait déjà 6 jours que nous sommes dans les lieux. Que le temps passe vite... On s’est véritablement installé.e.x.s et la caf’ tourne de mieux en mieux. Hier soir, plusieurs personnes sont restées dormir. La nuit s’est très bien passée et, comme nous le pensions, aucun.e.x membre du personnel de Novae n’est venu perturber notre sommeil. Ainsi, nous entammons la deuxième semaine d’occupation et nous commençons à être rôdé.e.x.s.

    Aujourd’hui, nous avons servi pas loin de 450 repas malgré le fait que ce soit la semaine d’études libres (les vacances) pour certain.e.x.s étudiant.e.x.s d’uni mail. Pour la première fois depuis le début de l’occupation nous n’avions pas assez de nourriture pour servir tout le monde. Le succès de notre cafétéria ne cesse de croître ! Cela montre une fois de plus le besoin urgent d’avoir des espaces inclusifs et émancipés des logiques marchandes dans nos universités !

    Pour ce qui est des négociations, nous avons reçu la visite du recteur en personne et de Micheline Louis-Courvoisier, vice-rectrice, suivis par leurs sbires. Ils avaient rencontré la conseillère d’état Emery-Torracinta plus tôt dans la journée et “s’étaient positionnés de notre côté” puisqu’ils avaient plaidé pour une offre de repas à 5 CHF “sans distinction” (à ceci prêt qu’il faut être étudiant.e.x à l’unité ou en haute école pour en bénéficier). A part ça, ils ne se sont pas prononcés sur les trois autres revendications et nous enverront un mail mercredi pour nous en parler. Bref, c’est bien maigre tout ça.

    Nous attendons également un retour du cocus du PS dans lequel Emery-Torracinta devait se justifier face à son parti (qui, on le rappelle, a fait passer une motion pour des repas à 3 CHF dans les cafétérias universitaires au grand conseil que Torracinta avait refusé en bloc). Nous devrions avoir un retour de cette réunion dans la journée de mardi.

    Du reste, le conseil d’état se réunit mercredi et devrait discuter de nos revendications à cette occasion.

    Par ailleurs, les camarades du Silure sont venu.e.x.s faire une magnifique banderole de soutien à l’occupation qui embellit désormais le hall d’uni mail.

    Demain, ce sera l’hebdoversaire de l’occup (eh oui, déjà) et on va faire un gros repas avec du gâteau à midi ! On vous réserve également une petite surprise à cette occasion ! En espérant vous y voir !

    Et il y aura aussi la bibliothèque de l’Infokiosques qui tiendra sa permanence dans notre caf de 15h à 17h, et à 17h30 la commémoration des fusillés du 9 novembre 1932.

    Anticapitalistement vôtre !

  • Le we du 6-7 novembre

  • Pour ce week-end, nous avons décidé de ne pas distribuer de nourriture à prix libre, ce qui nous a permis de nous (re)poser plus facilement. Nous en avons profité pour réinvestir le lieu et l’agencer différemment pour qu’il soit plus adapté aux activités politiques.

    L’occupation commence à faire parler d’elle et toujours plus de personnes/collectifs se proposent pour nous aider. Que ce soit pour faire à manger, pour nous soutenir au sein de l’université, pour nous communiquer des informations précieuses, etc.

    On a profité du week-end pour organiser une grande plénière qui était pensée pour toucher plus de monde que le noyau dur de l’occupation. Il n’y a pas eu beaucoup de monde en plus mais les personnes présentes ont été d’un grand soutien. L’objectif principal de la plénière était de discuter de comment on envisageait la suite et de refixer nos objectifs à la fin de la première semaine d’occupation. Nous avons donc décidé de rester au moins une semaine de plus et de refaire un point vendredi prochain, en jugeant l’avancée des négociations sur nos revendications. Nous avons également décidé de durcir le ton au cours de la semaine prochaine. Par ailleurs, nous organisons l’hebdoversaire de l’occupation mardi prochain au cours duquel une grosse surprise aura lieu.

    Pendant ce week-end, nous avons également fait une banderole dans le hall d’uni mail pour la commémoration des 5 ans de la mort de Hervé Mandundu, assassiné brutalement par la police le novembre 2016. A ce jour, l’état protège toujours aveuglément les assassins.

    Samedi, nous avons également reçu la brève visite de Philippe Poutou, membre du NPA qui nous soutient et a relayé l’action.

    A côté de ça nous continuons à faire du travail institutionnel et d’avoir du soutien du plus de monde possible pour s’assurer que le choix d’évacuer brutalement l’occupation soit difficile à prendre pour le rectorat et le conseil d’état.
    Nous avons toujours besoin de monde pour faire à manger, faire des récups, dormir sur place, organiser l’espace et réfléchir ensemble à la suite de l’occupation etc. N’hésitez pas à nous rejoindre !

    A tout bientôt dans nos cafétérias !

  • 4e jour d’occupation

  • Hier soir, nous étions plus de 50 à partager un gratin de pâtes dans une très bonne ambiance.
    Notre lutte prend de l’ampleur et commence à faire parler d’elle au sein de l’uni. Les soutiens publics se multiplient. Pas moins de 29 collectifs, internes à l’uni ou non, nous soutiennent. Certain.e.x.s professeur.e.x.s se mobilisent aussi pour soutenir l’occupation, surtout en cas d’évacuation. Des politiques nous soutiennent publiquement également.

    Nous avions rencontré la vice-rectrice Micheline Louis-Courvoisier dès mardi midi. Mais depuis, nous n’avions pas reçu le moindre signe de vie. Nous avons donc été dans le bureau du recteur pour lui demander des nouvelles. Comme d’habitude, avec son acolyte Didier Raboud, ils nous ont baratiné à base d’éléments de langage creux. Ils n’avaient rien à nous proposer de nouveau.
    Pendant ce temps, Anne-Emery Toracinta ne daigne toujours pas nous répondre. Elle ne donnera pas suite avant lundi aux propositions que le rectorat lui propose.

    Sauf que d’ici là, l’occupation continue et nous nourrissons toujours les étudiant.e.x.s. Venez profiter de
    des lieux !!

    Prochains rdv :
    Venez manger de bonnes salades (de pâtes, de quinoa ou normale) ou un risotto fait par la julienne dès midi. Tout ça à prix libre !!
    Nous avons notre plénière quotidienne à 15h !
    Il y aura une grande réunion samedi à 15h30 lors de laquelle nous déciderons de ce qu’on fera dans la suite de notre lutte. Tous les collectifs intéressés sont les bienvenus. Venez nombreu.se.x.s !!!

    Les repas à 3 CHF reviendront !

    Mort au caf’italisme !

  • 3e jour d’occupation

  • C’est déjà la deuxième fois qu’on se réveille dans ces lieux. Cette nuit on était de nouveau une vingtaine à dormir sur place.

    On s’approprie l’espace petit à petit et on s’y sent de mieux en mieux. D’ailleurs, la cuisine principale dans laquelle des employé.e.x.s ont travaillé toute la journée d’hier est désormais aussi bloquée et plus aucun.e.x employé.e.x ne viendra y travailler.

    À côté de ça, on commence à cuire la sauce tomate qu’on servira sur du riz ou des pâtes ce midi. Mardi et mercredi midi, on a servi entre 600 et 800 assiettes. On devrait en servir à peu près le même nombre ce midi.

    Vous êtes tou.te.x.s les bienvenu.e.x.s, que ce soit pour manger, passer un moment sur les lieux, discuter avec nous, dormir ou faire plein d’autres choses chouettes !

    Pour rappel, nous faisons aussi notre plénière à 15h et espérons vous y voir nombreu.se.x.s !

    Au plaisir de se voir dans NOS cafétérias !

    A bas le caf’italisme !

  • L’occupation continue ! Jour 2

  • Après des négociations infructueuses avec le rectorat de l’université, nous sommes resté.e.x.s dormir dans la cafétéria cette nuit car rien n’avait bougé. Ajourd’hui, pas de nouvelles du rectorat et toujours rien de neuf à l’horizon dans le champ des négociations. Aux dernières nouvelles, les cafs resteront fermées jusqu’à vendredi, on sera là pour tenir le lieu et y proposer chaque jour une alternative aux modèles de cafétérias capitalistes que nous combattons en fournissant des repas vegan et prix libre pour tou.te.x.s ! Nous avons besoin de soutien et de monde qui vienne s’organiser avec nous !

    Rejoignez-nous pour un repas de midi avec au menu aujourd’hui un dahl de lentilles accompagné de riz ou de semoule, discuter autour d’un café ou participer aux plénières pour redéfinir ensemble nos stratégies !

    RDV à 15h pour la plénière d’aujourd’hui !

Discours prononcé lors de l’occupation :

"On est la CUAE et on va vous demander de tendre l’oreille quelques minutes pour qu’on parle de pourquoi on est là aujourd’hui à occuper les cafétérias d’unimail.

On en a marre d’attendre. On en a marre de parler de précarité, qu’elle soit alimentaire ou pas, de sortir des chiffres alarmants et de se retrouver face à un mur, sans possibilité de dialogue avec les autorités qui sont censées nous représenter. Les deux dernières semaines, on a organisé deux bouffes pop’ prix libre. Mardi dernier, on a servi plus de 300 repas. Plusieurs personnes à qui on a servi une assiette nous ont dit que sans cette bouffe pop, iels n’auraient certainement pas mangé ce midi-là. Même si ces bouffes pop’ étaient de supers expériences, il n’y a pas de raisons pour que ce soit à nous, étudiant.e.x.s bénévoles, de nourrir les étudiant.e.x.s. Il est urgent que ça change. Le rectorat et le conseil d’état nous entendent très bien, ils refusent juste de nous écouter.

Faisons un bref rappel :
L’année passée, un groupe de travail de la CUAE a obtenu la mise en place de repas à 3 CHF dans les caf’ entre mai et juin.

Pendant l’été, le grand conseil, c’est-à-dire le parlement genevois, a voté une motion pour garder les repas à 3 CHF cette année. Sauf que le conseil d’état, c’est-à-dire le gouvernement genevois, en la personne d’Anne Emery Toracinta chargée du DIP, a tout simplement refusé d’entrer en matière. Leur argument, qu’ils nous ressortent sans relâche, c’est qu’il n’y a pas assez d’argent. C’est tout simplement faux. On a accès aux budgets, l’argent il est là, c’est juste que notre santé et notre bien-être ne sont pas prioritaires pour eux.
De son côté, le rectorat nous a très mollement représenté.e.x.s auprès du conseil d’état et n’a rien obtenu. On se retrouve donc livréexs à nous-mêmes et c’est à nous de créer le rapport de force pour obtenir les repas à 3 CHF. C’est ce qu’on fait aujourd’hui ! Et on restera le temps qu’il faudra !

Pourquoi les repas à 3 CHF ont-ils été supprimés ? Rien n’a changé, la crise du COVID n’est pas prête d’être finie, et nos conditions d’études se dégradent de jour en jour. Rien ne justifie la disparition des repas à 3 CHF. Aujourd’hui, ils sont plus essentiels que jamais. Manger, c’est un droit, partager un moment entre ces murs aussi ! De la nourriture saine pour tout le monde, c’est juste le minimum. On veut des repas à 3 CHF maintenant !!!

Le refus catégorique auquel on fait face actuellement révèle un problème profond : celui du modèle économique de nos cafétérias. Si aujourd’hui on refuse de rendre la bouffe des caf accessible à tout le monde, c’est parce que les cafs n’ont jamais été pensées pour nous mais pour les entreprises privées qui y font de très bonnes affaires avec l’argent qui sort de nos poches. Si on veut voir perdurer des repas à 3 CHF et imaginer des cafs réellement inclusives, faites pour nous tou.te.x.s, il va falloir dégager ce modèle capitaliste et mettre en place quelque chose de radicalement différent. On propose donc de nous laisser autogérer nos cafs, afin d’y créer des jobs étudiants. Un tel modèle devrait être suffisamment financé par l’uni pour qu’on puisse y appliquer des prix libres, pour arrêter d’exclure les personnes précaires de nos cafs.

On en a marre qu’on nous traite de privilégiéexs alors que la réalité de beaucoup d’entre nous est celle d’une précarité invivable. Beaucoup d’étudiantexs doivent conjuguer études, petit job et vie de famille pour avoir suffisamment de sous pour survivre. Pour vous donner une idée de l’ampleur du problème, à la rentrée 2021, il y a eu 1’158 demandes d’aide financière, ce qui représente une augmentation de 36% par rapport à 2019, une année normale.

Autre indicateur : Pour cette rentrée, 1’200 étudiant.e.x.s se sont inscrit.e.x.s à la Farce, cette association d’étudiant.e.x.s bénévoles qui distribue gratuitement de la nourriture. Le hic c’est que l’association n’a une capacité que de 330 places et que 3 personnes sur 4 se retrouvent à devoir attendre la semaine d’après. La semaine passée, il y a eu 300 inscriptions en 30 minutes et la Farce a dû fermer ses inscriptions tellement leur nombre était incontrôlable. Malgré tout ça, l’UNIGE ne donne pas un centime à la Farce, alors que c’est grâce à elle que beaucoup d’étudiantexs survivent. Pour l’instant, seulement les hautes écoles la subventionnent et c’est inacceptable. Des bénévoles ne devraient pas à elleux seulexs répondre à un besoin primaire des personnes en étude. On exige des subventions universitaires pour cette épicerie gratuite.

Le problème va plus loin que les repas à 3 CHF. Nos conditions d’études sont chaque année plus méprisées, attaquées et affaiblies. Cette tendance doit cesser. Nous avons le droit à des conditions d’études saines et propices à l’apprentissage. La charge mentale et le stress constant sont les symptômes d’une austérité toujours plus forte dans la formation. Et les repas à 3 CHF sont une première brèche pour avoir une université qui nous ressemble, qui est à nous. C’est aussi la raison pour laquelle on revendique une semaine de révision pour toutes les facultés au semestre de printemps.

En résumé, nos revendications sont claires, nous exigeons :

1. Le retour des repas à 3 CHF pour tout le monde, tout de suite et pour toujours.
2. Un modèle de cafétérias radicalement différent : autogestion de nos cafs par les étudiant.e.x.s, prix libre et financement pérenne de la part de l’uni ou de l’état. Avec des garanties d’emploi et de bonnes conditions de travail pour les personnes actuellement salarié.e.x.s des entreprises privées actives dans nos cafs.
3. Un financement pérenne de la part de l’uni pour l’épicerie gratuite La Farce.
4. Une semaine de révision dans toutes les facs pour le semestre de printemps.
On ne bougera pas d’ici tant qu’on n’aura pas obtenu ce qu’on revendique.

Regardez autour de vous ; ces cafs sont les nôtres et nous les faisons vivre à notre manière. La vie est quand même vachement plus belle quand l’espace nous appartient.
Cette occupation est une opportunité de nous unir et de nous faire entendre. On a besoin de monde pour rester dans l’espace et le faire vivre. Rejoignez-nous ! Restez par ici, venez discuter avec nous et rejoignez le groupe WhatsApp. Il y aura aussi une plénière à 16h30 pour discuter de la suite des événements et des négociations ! N’hésitez pas à passer après vos cours ou pendant la soirée, ces espaces sont à nous tou.te.x.s !
On vous demande juste de respecter quelques petites règles qui feront de cette occupation une victoire. Cette action s’inscrit dans une dynamique de lutte et n’a pas vocation à se transformer en fête. On vous demande de ne rien endommager et de bien vouloir respecter les règles sanitaires en vigueur concernant le covid-19 (masques quand on n’est pas assis.e.x.s et désinfection des mains). Enfin, ces lieux ont pour but d’être inclusifs, toute personne motivée à nous rejoindre et nous aider sera donc toujours la bienvenue !!

Demain, ce sera l’hebdoversaire de l’occup (eh oui, déjà) et on va faire un gros repas avec du gâteau à midi. On vous réserve également une petite surprise à cette occasion !

Il y aura aussi l’Infokiosques du Silure qui tiendra sa permanence de 15h à 17h dans notre espace, on se réjouit. Et à 17h30, la commémoration des fusillés du 9 novembre 1932, devant uni mail.

Anticapitalistement vôtre, on se réjouit de vous voir !

P.S.

Merci de votre attention et bon appétit !

Notes

DANS LA MÊME THÉMATIQUE

À L'ACTUALITÉ

Publiez !

Comment publier sur Renversé?

Renversé est ouvert à la publication. La proposition d'article se fait à travers l’interface privée du site. Si vous rencontrez le moindre problème ou que vous avez des questions, n’hésitez pas à nous le faire savoir
par e-mail: contact@renverse.co