Cela n’est pas passé inaperçu et a dérangé l’ordre politique établi. Ainsi, des tentatives de museler Renversé n’ont pas tardé à pointer leur nez. La première plainte en justice est venue d’Eric Stauffer (ex-président du MCG), véxé qu’il était de voir relayées ici les régulières mises à sac de son magasin de clopes électroniques aujoud’hui fermé. Puis, suite à la manifestation sauvage du 19 décembre 2015, les journalistes-flics, à la recherche de “responsables”, ont voulu voir en Renversé l’organisateur de cette charmante ballade nocturne dont le site avait relayé l’appel. Plus récemment, un article appelant à saboter la machine à expulser helvétique a fait des vagues et aurait conduit à une nouvelle plainte. Depuis, les journalistes romands ne citent plus le nom du site, même quand il est la source principale ou unique de certains de leurs articles.
Consécutivement à ces différentes plaintes, le bureau d’enregistrement de nom de domaine switchplus a menacé de désactiver l’accès à Renverse.ch, si le certificat d’État civil du responsable du site ne lui était pas fourni (et donc aux autorités par la même occasion). Loin de se laisser abattre, Renversé esquive les coups et change d’adresse - tout en gardant son nom, son contenu et sa combativité. Dorénavant, il faudra utiliser renverse.co pour accéder à votre site préféré.
De plus, le collectif d’animation de Renversé vous encourage vivement à utiliser Tor pour naviguer sur le web. Renversé possède d’ailleurs une adresse .onion - http://d26vp7trenverss7.onion - qu’il est très conseillé d’utiliser. Cette adresse alternative est un excellent moyen pour protéger nos médias libres de la censure et de la répression !
