Dénoncer la responsabilité des criminel·le·s du climat n’est pas un délit. C’est un acte indispensable !
Le chaos climatique a ses responsables majeur·e·s. Le Crédit Suisse en fait partie.
Le Crédit Suisse a fourni des milliards de dollars à des entreprises menant des projets hautement responsables de la catastrophe climatique. Le volume d’émission de GES dont elle est responsable est plus grande que celui de la Suisse.
Nous lui avons demandé maintes fois de désinvestir. Une pétition réunissant plus de 400 000 personnes lui a même été transmise par Greenpeace. Face à son refus obstiné d’agir, Nicolas et d’autres ont apposé sur sa façade la 1re page du rapport du GIEC et des mains rouges symboles de sa responsabilité, lors d’une grande marche pour le climat en 2018. La banque veut forcer Nicolas à payer des milliers de francs en amende et frais, par ce procès du 12 novembre. Signaler la responsabilité des criminels du climat n’est pas un délit ! C’est un acte civique indispensable. Nous devons faire cesser le ravage. Des milliers de personnes l’ont compris. Partout en Suisse des mains rouges accusent le Crédit Suisse.
Soyons tous et toutes le 12 novembre à l’Esplanade Saint-Antoine avec Nicolas, pour une fête de la solidarité, d’animations et de partage.
Collectif Break Free Suisse